La justice est certainement l’un des plus anciens domaines que la société humaine a créés afin d’assurer l’harmonie au sein d’un État. Depuis des siècles, les métiers liés à sa pratique passionnent de nombreuses personnes.
Devenir avocat est synonyme de réussite dans tous les pays du monde. Plaider en justice, défendre ses clients, être le garant du respect des droits de ceux qu’il représente, tel est en quelques mots l’essentiel de la tâche de ce professionnel assez particulier. Qu’en est-il de nos jours ? Existe-t-il un nouveau parcours à suivre pour devenir avocat ?
L’essentiel de la formation
Comme avec de nombreux métiers, on ne naît pas avocat, on le devient. Des formations existent alors pour les jeunes qui ont toujours souhaité d’occuper cette fonction. Les parcours et critères ont évolué avec le temps. Aujourd’hui, le Master 1 à la suite d’une formation en droit à l'Université est un pré requis. Les formateurs conseillent même aux étudiants d’avoir le Master 2 s’ils veulent augmenter leur chance de réussite.
En alternative, on peut aussi se présenter avec un diplôme d'école de sciences politiques. La prochaine étape consiste à passer les examens d’entrée aux centres régionaux de formation professionnelle pour avocats. La préparation à ces concours pourra se faire chez l’un des instituts judiciaires accessibles sur le territoire. Le titre sera obtenu après 18 mois de formation et de pratique. Dans tous les cas, les annales des IEJ sont les bienvenues pour réussir ses examens.
En quoi consiste réellement le travail d’un avocat?
Actuellement, on peut avoir l’impression que tout le monde connaît le travail des avocats. Combien de fois la phrase « je veux voir mon avocat » a-t-elle été prononcée ces dernières décennies ? Mais derrière cette sentence assez courante se cache une véritable mission pour ces hommes qui ont choisi de faire carrière dans la justice.
L’avocat a pour principale préoccupation les intérêts de son client. Il doit représenter ce dernier, le défendre et l’assister tout au long du processus judiciaire. La rédaction des différents actes nécessaires lui revient également après le règlement du litige.